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Le prof de musique aime s’évader dans les massifs qui l’entourent. Loin de la cacophonie de la ville, courir en montagne est une activité qui l’apaise. Le trail de Bozel fait partie de ces courses sur lesquelles il aime retrouver l’ambiance originelle. S’il a commencé par le 10km en 2015 et en 2016, il s’est ensuite essayé au 30km, un parcours dont il est tombé littéralement amoureux.
Peux-tu nous décrire les parcours de Bozel ?
« Le parcours du 10km est très sympa car on retrouve tout ce qui existe dans des trails un peu plus long, avec des singles, des pistes forestières, des montées, des descentes et de beaux paysages. Le 30km est plus sauvage et plus typé « montagne ». Après un départ roulant, on rentre dans le vif du sujet avec l’ascension du Bécoin et du Jovet en passant par le Pas des Brebis. C’est un parcours qui me plait et me convient puisque le ratio kilométrage/dénivelé commence à être important. »
Quels conseils donnerais-tu pour bien s’y préparer ?
« Pour se préparer, il faut déjà se fixer un objectif. Performer ou terminer ? La prépa sera différente même si on retrouvera toujours un point commun, l’envie. Pour performer sur le 30km il ne faudra pas négliger les descentes car depuis le Sommet du Jovet jusqu’à Bozel ça peut faire mal aux cuisses. Et concernant le 10km, il faudra bien insister sur la vitesse à plat. Mais si on souhaite simplement terminer, alors il faudra plutôt apprendre à passer du temps en montagne en marchant et profiter des paysages pour surmonter les passages un peu plus difficiles. »
Qu’avais-tu retenu de particulier à Bozel ?
« L’ambiance à l’arrivée reste inoubliable avec beaucoup de monde, de la musique et un tapis rouge en guise d’arrivée, incroyable ! »