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Christophe Lesaux

Christophe Lesaux

Le globe trotter du trail Christophe Lesaux vit actuellement entre Paris, Vancouver et Londres. Et quand il ne voyage pas avec ses clients sur une course trail par étapes en Bolivie, au Pérou ou au Népal, l’ancien militaire de carrière aime se poser dans les Alpes pour participer à un trail savoyard, Christophe revient sur ses expériences à Pralo.

Pourquoi être venu courir à Pralo sur le TGV toi qui parcours le monde à longueur d’année ?

« J’ai trouvé Pralognan-la-Vanoise très charmant, un petit village accueillant et authentique. J’ai vraiment adoré l’endroit dès ma première fois à Pralo. Le parcours est tout simplement magique. Et particularité de l’évènement, on ne peut pas baliser à l’intérieur du Parc National de la Vanoise. On doit se débrouiller par nous même avec le road-book. Enfin une course où on ne suit pas un balisage bêtement mais où on doit se concentrer sur le parcours et la beauté des paysages, les origines du trail.

As-tu des souvenirs qui t’ont plus particulièrement marqué ?

« C’est une course très conviviale, festive où tout le monde échange quel que soit le niveau de course. Je me souviens du petit déjeuner servi sur la place devant l’OT où on partageait tous ensemble ce moment de partage avant le départ, c’était très sympa. Et on se parlait, on échangeait, chose qui se perd progressivement à l’heure des réseaux sociaux où tout le monde court avec son smartphone pour partager sur sa page FB incrustant les selfies légendaires. Pour ma part, je préfère le contact humain et prendre le temps de profiter de dame nature, ce qui reste possible avec le tgv où de nombreuses zones restent encore hors connexion. »

Quels conseils donnerais-tu aux néophytes de la course ?

« De venir reconnaître le parcours pour mieux le gérer. On peut venir en famille ou entre amis. Mais ce n’est pas la même chose. Je conseillerai plutôt une reco en deux jours en mode sportif avec des amis traileurs, ou en 3 jours pour une formule plus light et plus posée. Je conseille aussi de venir au moins une semaine en vacances pour ceux qui viendraient de loin, histoire de s’acclimater à l’altitude et de bien profiter des différents sites avant le parcours. »

Reviendras-tu un jour courir à Pralo ?

«  Mais certainement, j’y compte bien ! »

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